« Auréolé du prestige de son 5ème Prix au dernier Concours Chopin de Varsovie, François Dumont récolte enfin le bénéfice d’un parcours sans faute bâti auprès des plus grands noms du clavier. »
Concertclassic.com, Michel Le Naour
« François Dumont possède ce à quoi l’on reconnaît les très grands pianistes : une sonorité riche et lumineuse ; la sienne est des plus rares. Un clavier qui chante à toutes les notes. Le sens de l’espace sonore et un toucher différent pour chaque compositeur. »
ResMusica, Francoise Ferrand
« Le Chopin de François Dumont prend son temps, il est vorace d’espaces sonores, il trouve dans la profondeur du clavier des temps de résonances que souligne un art singulier de la pédalisation. (…) Ce piano profond, aux basses aqueuses, à l’aigu discret, toujours ombré, y livre toute sa très simple poésie. »
Jean-Charles Hoffelé, (extrait du texte de présentation pour le livret numérique de l’album Chopin, chez Artalinna
Pour conclure, dans le bouquet de pièces majeures de Chopin, il témoigne non seulement d’une sensibilité très fine (Mazurka op 50 n°3) mais aussi d’une palette de couleurs irisées (Berceuse op 57) et d’un élan puissant (Polonaise op 53 « Héroïque »).
Concertclassic.com, Michel Le Naour
« Lyrisme, drame, fièvre : tout est exprimé avec naturel, porté par un jeu au geste sobre, à la fois chantant, lisible et bien timbré. Par la suite, on cède tout autant à la fraîcheur de l’Impromptu n°1, à la tendresse sans apprêt de la Valse op 70 n°3, aux subtils miroitements de la Polonaise-Fantaisie ou de la Barcarolle. Le Scherzo n°3 clôt le volet chopinien avec un feu contenu, une ardeur jamais aboyante qui font grand bien dans une pièce trop souvent victime de tapeurs pressés. »
Concertclassic.com, Alain Cochard