Anniversaires Proust

Axel Coeuret

Lambert Wilson

Jean-Philippe Collard

Augustin Dumay

explorent « À la recherche du temps perdu »

 

5 spectacles dont 1 création alliant littérature et musique

Conception et adaptation Jean-Michel Verneiges

2021 | 150ème anniversaire de la naissance
2022 | Centenaire de la mort de Marcel Proust

Le trio exceptionnel formé par Lambert Wilson, le pianiste Jean-Philippe Collard et le violoniste Augustin Dumay poursuit depuis plusieurs années l’exploration du chef-d’oeuvre mythique de Proust, à travers cinq spectacles différents conjuguant les mots et les notes.

Ces artistes ont choisi de l’évoquer particulièrement à partir de la saison 21/22 à l’occasion des anniversaires Marcel Proust (1871-1922).

La conjugaison de textes issus de À la Recherche du temps perdu et de partitions ayant nourri son univers musical invite tous les publics à savourer cette osmose parfaite : aussi bien ceux n’ayant aucune connaissance de l’oeuvre que les passionnés qui retrouveront avec plaisir certains des plus grands textes sertis dans de sublimes pages musicales.

Cinq programmes dont une création, mis en espace et en lumière, d’environ 1h30 sans pause, sont construits autour de plusieurs thèmes distincts, à travers des choix de textes « scénarisés » pour constituer un fil narratif accessible à tous. Le cinquième programme est créé en 2022 spécialement pour le Centenaire de la mort de Proust :

I. Proust et la Sonate de Vinteuil
II. Proust et la Grande Guerre
III. Un Humour de Proust
IV. Les Fleurs fugitives de Marcel Proust
V. Proust, mort à jamais ?

Textes extraits exclusivement de À la Recherche du temps perdu. Œuvres de Beethoven, Chopin, Debussy, Fauré, Franck, Ravel, Saint-Saëns, Satie, Scarlatti,
Schumann, Wagner.

Tous les programmes sont autonomes et entièrement distincts. Ils peuvent faire l’objet de toutes combinaisons dans le cadre de projets spécifiques de saison ou d’événements particuliers.

Vidéos et photos

Fauré Violin Sonata No.1 in A major, Op.13 Dumay, Collard

Violin Sonata No. 2 in E Minor, Op. 108: I. Allegro non troppo