« Ce disque est bien davantage qu'une carte de visite. Il fait entrer une nouvelle formation dans le circuit particulièrement sélectif des formations qui comptent » Classica
« Les deux filles du duo Jatekok ont tout pour elles : rigueur dynamique et verve expressive, clavier prolixe et toucher polyglotte, et plus que tout, une manière d’osmose jubilatoire » Le Monde
Deux rencontres, un duo.
Pour Naïri Badal et Adélaïde Panaget, la première rencontre avec le piano se fait dans leur prime jeunesse. C’est auprès de sa grand-mère Joyce Boujikanian, pianiste concertiste et professeur au Liban, que dès l’âge de cinq ans Naïri comprend l’exigence et l’excellence qu’implique de devenir pianiste ; tandis qu’au même moment, Adélaïde découvre dans le salon familial l’instrument qui servait aux cours de sa grand-mère, elle aussi professeur de musique. Deux familles bienveillantes et témoins du talent grandissant, qui feront le choix éclairé d’une classe à horaires aménagés au Conservatoire Régional de Paris dans la classe de Brigitte Bouthinon-Dumas. Ce sera là l’occasion d’une seconde rencontre décisive, celle de deux petites filles espiègles qui verront naître une amitié et une complicité musicale qui continue de grandir aujourd’hui.
Pour Naïri Badal et Adélaïde Panaget, la première rencontre avec le piano se fait dans leur prime jeunesse. C’est auprès de sa grand-mère Joyce Boujikanian, pianiste concertiste et professeur au Liban, que dès l’âge de cinq ans Naïri comprend l’exigence et l’excellence qu’implique de devenir pianiste ; tandis qu’au même moment, Adélaïde découvre dans le salon familial l’instrument qui servait aux cours de sa grand-mère, elle aussi professeur de musique. Deux familles bienveillantes et témoins du talent grandissant, qui feront le choix éclairé d’une classe à horaires aménagés au Conservatoire Régional de Paris dans la classe de Brigitte Bouthinon-Dumas. Ce sera là l’occasion d’une seconde rencontre décisive, celle de deux petites filles espiègles qui verront naître une amitié et une complicité musicale qui continue de grandir aujourd’hui.
Deux personnalités pianistiques en regard
Entraînées très tôt à quatre mains par leur professeur qui révèle l’évidence de leur entente, Adélaïde et Naïri construisent en parallèle leurs personnalités pianistiques individuelles. Les deux filles se retrouvent régulièrement pour se rôder, s’entraîner, s’entraider et remporter de nombreux concours. Aux quatre coins du monde, elles interprètent les classiques en solo ou avec orchestre tout en développant leur jeu auprès de John O’Connor en Irlande, Avédis Kouyoumdjian en Autriche ou encore Nelita True aux États Unis.
C’est donc tout naturellement qu’elles se retrouvent au prestigieux Conservatoire National Supérieur de Paris (CNSM) pour aboutir leur formation, Naïri, dans la classe de Brigitte Engerer et Adélaïde, dans celle de Nicholas Angelich. Elles cultivent dorénavant leurs personnalités artistiques au contact d’éminents pédagogues et artistes, D.Bashkirov, F. Braley, C. Eschenbach, G. Joy-Dutilleux, Y. Markovitch, J-C. Pennetier, C. Ivaldi et le trio Wanderer pour ne citer qu’eux.
Plusieurs choix marquants vont enfin sceller les premières heures de leur duo, celui notamment d’un master spécialisé pour deux pianos et quatre mains sous la direction de Claire Désert et Ami Flammer, ainsi qu’une résidence avec le quatuor Artemis à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth en Belgique qui les lancera définitivement dans le monde professionnel.
Entraînées très tôt à quatre mains par leur professeur qui révèle l’évidence de leur entente, Adélaïde et Naïri construisent en parallèle leurs personnalités pianistiques individuelles. Les deux filles se retrouvent régulièrement pour se rôder, s’entraîner, s’entraider et remporter de nombreux concours. Aux quatre coins du monde, elles interprètent les classiques en solo ou avec orchestre tout en développant leur jeu auprès de John O’Connor en Irlande, Avédis Kouyoumdjian en Autriche ou encore Nelita True aux États Unis.
C’est donc tout naturellement qu’elles se retrouvent au prestigieux Conservatoire National Supérieur de Paris (CNSM) pour aboutir leur formation, Naïri, dans la classe de Brigitte Engerer et Adélaïde, dans celle de Nicholas Angelich. Elles cultivent dorénavant leurs personnalités artistiques au contact d’éminents pédagogues et artistes, D.Bashkirov, F. Braley, C. Eschenbach, G. Joy-Dutilleux, Y. Markovitch, J-C. Pennetier, C. Ivaldi et le trio Wanderer pour ne citer qu’eux.
Plusieurs choix marquants vont enfin sceller les premières heures de leur duo, celui notamment d’un master spécialisé pour deux pianos et quatre mains sous la direction de Claire Désert et Ami Flammer, ainsi qu’une résidence avec le quatuor Artemis à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth en Belgique qui les lancera définitivement dans le monde professionnel.
Naissance d’un Duo
C’est lors d’un concours à Valberg en 2007 qu’elles formeront officiellement leur duo et interpréteront sur le conseil de Claire Désert une pièce contemporaine de Kurtág : Jatekok. Une œuvre qui cristallisera leur entente, faite de petites miniatures lyriques, contemplatives, pleines d’émotion. Jatekok, « le jeu » en hongrois, une idée qui fera leur signature.
Lauréates de deux grands concours internationaux pour duo de pianos, Rome en 2011 et Gand en 2013, elles construisent un répertoire à l’image de leur dynamisme et de leur expressivité. Leur premier album « Danses » distribué avec le label Mirare en 2015 est unanimement reconnu par la presse et le duo va le présenter dans de grands festivals et des scènes importantes de la musique classique : le festival de la Roque d’Anthéron, les folles journées de Nantes, l’Opéra de Varsovie, la Cité de la Musique à Paris, la salle Flagey de Bruxelles, le musée Dvorak à Prague, le théâtre Borsellino en Sicile, ou encore l’auditorium del Massimo à Rome.
C’est lors d’un concours à Valberg en 2007 qu’elles formeront officiellement leur duo et interpréteront sur le conseil de Claire Désert une pièce contemporaine de Kurtág : Jatekok. Une œuvre qui cristallisera leur entente, faite de petites miniatures lyriques, contemplatives, pleines d’émotion. Jatekok, « le jeu » en hongrois, une idée qui fera leur signature.
Lauréates de deux grands concours internationaux pour duo de pianos, Rome en 2011 et Gand en 2013, elles construisent un répertoire à l’image de leur dynamisme et de leur expressivité. Leur premier album « Danses » distribué avec le label Mirare en 2015 est unanimement reconnu par la presse et le duo va le présenter dans de grands festivals et des scènes importantes de la musique classique : le festival de la Roque d’Anthéron, les folles journées de Nantes, l’Opéra de Varsovie, la Cité de la Musique à Paris, la salle Flagey de Bruxelles, le musée Dvorak à Prague, le théâtre Borsellino en Sicile, ou encore l’auditorium del Massimo à Rome.
Leur second album « les Boys » sorti en 2018 chez le label Alpha Classics rend hommage au duo américain Arthur Gold et Robert Fizdale. C’est l’occasion pour elles de mêler des pièces modernes et des œuvres du grand répertoire. Adélaïde et Naïri ont à cœur d’élargir les envies des mélomanes et d’attiser leur curiosité. C’est avec ce nouveau programme qu’elles ont été invitées à jouer à la Seine Musicale à Paris, au festival Piano à Lille ou encore en Belgique et en Chine.
Invitées par l’Orchestre de Chambre de Genève, du Guatemala, de Malaisie et par le Sinfonia Varsovia, elles multiplient les rencontres musicales avec des ensembles, des instrumentistes et d’artistes d’autres univers.
Une démarche personnelle et originale
Au-delà de l’interprétation de pièces classiques devant des publics avertis, le Duo Jatekok aime à faire partager son amour d’un art parfois difficilement accessible au plus grand nombre. C’est ainsi qu’elles multiplient les occasions pour construire des liens originaux avec le public, que ce soit en prenant le micro pour expliquer l’origine d’une pièce ou l’histoire d’un compositeur, interpréter Casse-Noisette avec Marina Sosnina, dessinatrice sur sable, ou encore illustrer le Petit Prince accompagné du comédien Julien Cottereau, pour le plus grand plaisir des petits et des grands.
Naïri Badal et Adélaïde Panaget trouvent un chemin vers un public qui reconnaît leur sincérité, leur talent et leur authenticité. Jatekok : jouer du piano, avec le piano, à quatre mains, à deux pianos, classique, contemporain, avec le public, avec d’autres musiciens, d’autres artistes. Jouer, c’est l’essence de leur Duo.
Au-delà de l’interprétation de pièces classiques devant des publics avertis, le Duo Jatekok aime à faire partager son amour d’un art parfois difficilement accessible au plus grand nombre. C’est ainsi qu’elles multiplient les occasions pour construire des liens originaux avec le public, que ce soit en prenant le micro pour expliquer l’origine d’une pièce ou l’histoire d’un compositeur, interpréter Casse-Noisette avec Marina Sosnina, dessinatrice sur sable, ou encore illustrer le Petit Prince accompagné du comédien Julien Cottereau, pour le plus grand plaisir des petits et des grands.
Naïri Badal et Adélaïde Panaget trouvent un chemin vers un public qui reconnaît leur sincérité, leur talent et leur authenticité. Jatekok : jouer du piano, avec le piano, à quatre mains, à deux pianos, classique, contemporain, avec le public, avec d’autres musiciens, d’autres artistes. Jouer, c’est l’essence de leur Duo.